Une petite enquête de quelques heures aura suffit pour trouver un immeuble indécent à Limoges. Le directeur de l’ADIL m’a demandé comment j’avais procédé. Je lui ai répondu qu’il s’agissait d’un « secret de fabrication ».
Le propriétaire affirme que ses locataires ne sont pas corrects, mais j’ai un peu de mal à croire qu’ils sont à l’origine des fissures dans les murs. Et puis les fuites d’eau doivent être réparées par le propriétaire et non le locataire.
A vrai dire, il ne faut avoir aucune pudeur à demander 450 euros à une famille modeste pour vivre dans un taudis pareil.
Les images sont signées Vivien Chareyre.
