Bien qu’ayant vécu le pire lors de l’attentat de Charlie Hebdo, elle est d’une douceur et d’une gentillesse incroyable. Jusqu’au dernier moment, nous n’avons pas su si elle pourrait participer à ce direct car elle ne dévoile jamais son emploi du temps à l’avance.
J’ai choisi de parler de l’avenir du dessin de presse avec elle en lui demandant de choisir une série qui lui plaisait dans l’exposition. Et naturellement, sans l’obliger à rien, nous avons parlé djihadisme.
Coco est une artiste et journaliste d’une grande sensibilité. J’ai été très marqué par cette rencontre.
